5 août 2006 SENDAI 仙台 J 13 Le festival commence

Allez ! Départ de Tokyo à 9h en shinkansen pour rejoindre Adrien et Aurélie à 11h devant une statue de cavalier blanc. Purée, ils nous ont avoué qu'1/2 heure avant qu'on arrive, ils n'étaient même pas réveillés ! Mais ils étaient là, et c'est ce qui compte.




Ensuite, ils nous ont amené à leur appart (30 minutes de marche) et on a mangé du saumon et ... du riz ! Puis on sort pour aller visiter les temples japonais (sans blague ?).


















Y'en avait un qui était noir à la base et en dessus de toutes les couleurs ce fut beau ! Ensuite, on a visité un deuxième temple ( multicolor lui aussi) et j'ai mangé pour la première fois de la patatte douce (que je me souvienne). Puis on prend un bus bondé (on ne peut plus bouger tellement ya du people !) pour aller à un parc en hauteur où l'on peut adminrer Sendai et les allentours (de forêt!). Après, on a vu le seul bâtiment restant de l'ancien château de Sendai. Avant de rentrer à l'appartement, A et A ont acheté des spécialités de Sendai. On flâne un petit peu en attendant 6h (il est 5h12) pour aller dans un restaurant spécial. Ca, pour être spécial, il l'est ! Nous avons pu déguster de l'anguille caramélisée sur du riz (trop bon).

Maintenant, ya un feux d'artifice qui se prépare à être tiré et faut qu'on puisse l'admirer. Trop beau, il a duré 1h30 avec plein de bouquets finaux (on a cru qu'il durerait toute la nuit) y'avait du vert, du rouge, du bleu, du orange, du blanc, du violet, du jaune, plein de formes de feux d'artifices différentes !







On a goûté la spécialité de Sendai, c'est bon, c'est de la crème anglaise entourée de viennoise (ndriri : de gênoise). Et là, on a joué à Worms c'est un jeu où t'as des tas de vers de terre et tu dois tuer les autres avec des armes (du bazooka à la sainte grenade) et bizarrement, c'est toujours mon vers Alexandre qui survit (y'a Mick, Vincent, Erwan, Scott, Cyril et d'autres) et on a joué jusqu'à 1h du matin (ndriri : oui, d'ailleurs le clavier d'Adrien s'en souvient ...), trop bien mais faut que je dorme (ndriri : oui, il a fallu que je me fâche, je crois ;-) ).